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Master de Finance - ASRF
Promotion 2016-2017
Avant de venir étudier à l’IGR-IAE Rennes, j’avais déjà obtenu mon premier master en gestion financière et comptable au Maroc. Comme j’avais toujours été motivée pour trouver des opportunités à l’étranger, j’ai commencé à chercher des programmes qui m’aideraient à améliorer le bagage que j’avais acquis précédemment. La France était pour moi la meilleure voie, étant donné qu’elle a de nombreux partenariats avec le Maroc, ce qui m’a facilité la tâche sur le plan administratif. En outre, j’étais fasciné par la culture et la diversité du pays, ce qui a évidemment rendu mon choix encore plus facile.
Le master en finance de l’IGR-IAE répondait à tous les critères que je recherchais dans un programme : la préparation du CFA qui était très stimulante, un programme international qui me permettait d’être confrontée à des milieux différents, et surtout un équipe universitaire qui m’a beaucoup soutenue et encouragée.
Ce qui me manque vraiment dans mes études à l’IGR-IAE, c’est la cohésion que nous avons partagée avec l’ensemble de mes camarades de classe malgré nos différences à tous les niveaux.
Actuellement, je travaille comme trésorière à la SFAM, un acteur majeur dans le domaine de l’assurance des mobiles et du multimédia. Pour ma part, je n’ai eu aucun problème à trouver un poste intéressant qui corresponde à mes ambitions et à mes aspirations professionnelles. Outre le travail et le temps que j’ai investis dans la préparation des entretiens, je pense que le fait d’être diplômé de l’IGR-IAE joue un rôle important dans le choix de mon profil plutôt que celui d’une autre personne. Lors de certains entretiens, j’ai parfois eu des réactions du genre « J’ai eu une ancienne étudiante de l’IGR-IAE qui travaillait pour moi, elle était vraiment brillante et je suis sûr que vous le serez aussi ».
Mon conseil aux futurs étudiants est d’accorder une attention particulière à l’apprentissage du français. En effet, le fait de pouvoir parler différentes langues crée la différence lors d’un entretien, mais cela ne remplace certainement pas la langue la plus utilisée, qui est le français.
Dans l’ensemble, je pense que le plus dur pour moi en venant en France, a été d’être séparé de mes proches et de quitter ma zone de confort. Mais je pense que c’est aussi l’expérience qui a révélé ce qu’il y a de meilleur en moi. Ce n’est que dans des circonstances difficiles et lors de changements que nous prenons conscience de notre potentiel et que nous apprenons à être une meilleure personne chaque jour.